Première expérience professionnelle :
J'ai eu le plaisir d'avoir mon premier travail (CDD) au KIABI de Essey-Lès-Nancy.
Durant les 2 semaines de décembre et le mois de juillet , j'ai effectué le travail de conseiller de mode au sein de cette grande entreprise de vêtements.
Durant ces deux semaines, j'ai effectué différentes tâches :
-Du cintrage
-Du Merch
-De la mise en rayon
-De l'étiquetage
-Du conseil clientèle
-Du rangement
Le cintrage consiste à plier ou à mettre sur cintre les livraisons du matin.
Les livraisons arrivent la nuit dans des grand bacs, la première étape est de les trier par genre (homme, femme, bébé, enfant et accessoires).
Par la suite, plusieurs employés se positionnent devant le bac trié et commencent à ouvrir les sachets contenant les vêtements. Durant mes 2 semaines, j'ai effectué le rangement dans les rayons homme, femme et accessoire. Chaque jour, le magasin recevait l'équivalent de 8 heures de cintrage reparties entre 3 personnes.
Mais la difficulté arrive, c'est à ce moment là que l'on se pose la question : "le vêtement doit-il être plié ou mis sur cintre ?"
Mais pas de panique, on peut regarder les étiquettes et leurs abréviations qui associent un endroit précis . Mais chaque magasin a ses exceptions, il n'est donc pas rare de devoir les replier car en magasin ils le sont déjà.
Cela facilite la mise en rayon que l'on réalise après le cintrage.
Le merch veut dire agencer.
J'ai donc agencé les rayons: homme, femme, et enfant.
Par exemple, j'ai dû réagencer tous les jeans enfants par taille, sexe et couleur soit un total de 1 000 jeans, +-100 dans un minimum de temps (2 heures).
L'étiquetage
L'étiquetage consiste à mettre des étiquettes sur les vêtements.
En effet, pour la préparation des ventes privées et des soldes, j'avais pour mission de trouver tous les vêtements soldés grâce à un poquette (téléphone muni d'un scan) et de les mettre de côté pour par la suite me munir de carton rouge (-50% ou -70%) et d'une swifteuse ( voir photo petit pistolet) ce qui permet d'accrocher les étiquettes aux vêtements.
La swifteuse est équipée d'un bout en métal piquant pour rentrer dans le vêtement et donc coincer l'étiquette. Je me suis également piqué le doigt, ça fait mal !!.
Conclusion:
En conclusion, ce travail m'a permis d'acquérir de nouvelles connaissances dans un domaine qui m'était inconnu jusqu'alors.
Durant de ces deux semaines et le mois de juillet, j'ai surmonté ma timidité pour aider les différents clients. J'ai fait de nouvelles rencontres et découvert la difficulté de ce métier, mais j'ai également éprouvé une réelle satisfaction, celle d'aider les gens.